Enfant chemin faisant dans la rue ou sur les bancs
A portée de glaviots, livres sur le dos
Je découvrais l'exil et ses vicissitudes, ce parfum de solitude, ce petit air entêtant.
Plus tard considérant l'évident, le convenu
De phrases sybillines en sous entendus
Las d'échoué ma mie à flanc certitudes,je meublais ma solitude
Ce mal que ne guérit nul onguent.
L'exil à vie vois-tu à flanc de ceritudes, ce parfum de solitude
Oh la vie à flanc de certitudes,
Oh la vie à flanc de certitudes.
Que retournent donc les immigrés en "Zimmigrie"
Sur le champ les étrangers en "Zétrangie"
La valse au rythme des couplets de feu Jean-Marie
Les soufflets de tante Eulalie
Quelle griserie non vraiment
L'exil à vie vois-tu à flanc de ceritudes, ce parfum de solitude
Oh la vie à flanc de certitudes,
Oh la vie à flanc de certitudes
Lalala...
Oh Oh la vie à flanc de certitudes
Oh la vie à flanc de certitudes
Des fois pour faire semblant je m'occupe, je chante
L'ivresse de n'être rien, la detresse en moins
Etre déjà mort ou bien faire voeux de silence
Qu'on m'explique la différence
depuis 30 ans que j'attends
L'exil à vie vois-tu à flanc de certitudes
Simple question d'habitudes
Oh la vie à flanc de certitudes
Oh la vie à flanc de certitudes
Oh la vie à flanc de certitudes
Oh ce petit air entêtant