La vie a le parfum d’une femme le matin
Jamais docile, le monde à nos cils
Nous faisons la vie et l’amour tout temps gravés sans les tours
Est-ce que tu le vois?
Est-ce que ça tu le vois?
Et je marche attiré par les cimes
Et je fuis l’orage et les abimes
A la beauté des roses qui se fanent
Je préfère le sublime d’une flamme
Les sœurs qui s’arment, s’arment, s’arment
Qui résonnent, sonnent, sonnent
Nous les femmes, femmes, femmes
L’avenir de l’homme
On s’aime, s’aime, s’aime
Comme des reines, reines, reines
C’est la larme, larme, larme
Des fleurs et des flammes
Ouh, ah ah nous sommes
Des fleurs et des flammes
Ouh, ah ah nous sommes
Des fleurs et des flammes
Nous dirigions déjà le monde
Même laissées dans les ombres
Des robes des rois
Mais ça ne se disait pas
Nous ne sommes pas que des mères, des peaux sur des posters
Des fleurs qu’on collectionne, des jouets pour les hommes
Et je marche attiré par les cimes
Et je fuis l’orage et les abimes
A la beauté des roses qui se fanent
Je préfère le sublime d’une flamme
Les sœurs qui s’arment, s’arment, s’arment
Qui résonnent, sonnent, sonnent
Nous les femmes, femmes, femmes
L’avenir de l’homme
On s’aime, s’aime, s’aime
Comme des reines, reines, reines
C’est la larme, larme, larme
Des fleurs et des flammes
Ouh, ah ah nous sommes
Des fleurs et des flammes
Ouh, ah ah nous sommes
Des fleurs et des flammes
Ouh, ouh, oh oh oh oh ouh, ouh
Ouh, ouh, oh oh oh oh ouh, ouh
Ouh, ouh, oh oh oh oh ouh, ouh
Ouh, ouh, oh oh oh oh ouh, ouh
Ouh, ouh, oh oh oh oh ouh, ouh
Et je marche attiré par les cimes
Et je fuis l’orage et les abimes
A la beauté des roses qui se fanent
Je préfère le sublime d’une flamme
Les sœurs qui s’arment, s’arment, s’arment
Qui résonnent, sonnent, sonnent
Nous les femmes, femmes, femmes
L’avenir de l’homme
On s’aime, s’aime, s’aime
Comme des reines, reines, reines
C’est la larme, larme, larme
Des fleurs et des flammes
Ouh, ah ah nous sommes
Des fleurs et des flammes
Ouh, ah ah nous sommes
Des fleurs et des flammes