Chaque soir, je ne fais que songer
Avant d'aller me coucher
Pour moi les ennuis commencent
Dans le lit je danse seul, face à mes pensées
Un peu de peur et de peine
C'est toujours la même rengaine
J'suis seul face à ces silences
Que les idées s'élancent et m'empêchent d'avancer
Je cherche à mettre en veille
Mes pensées qui s'emmêlent
Me privant de sommeil
Mais je n'peux combattre mes démons
Fort au-delà des mondes
Mais je n'sais pourquoi
Je me sens malheureux
Depuis que j'ai ouvert les yeux sur le monde
Je n'arrive plus à les fermer la nuit
Toutes mes idées se confondent
Lors d'une ode à la douce insomnie
Quand mes remords vagabondent
Au-delà de mon esprit
Trop de questions qui abondent chaque seconde
Mon sommeil m'est insoumis
Fais qu'elles s'en aillent, aillent
Ces idées qui viennent me hanter la nuit
Fais qu'elles s'en aillent, aillent
J'suis vidé comme supporté par l'ennui
Je n'arrive pas à dormir
Je n'ai envie de rien hormis
Pouvoir enfin me plonger
Ne plus me ronger dans les bras de Morphée
L'heure tourne et moi je ne peux
Toujours pas fermer les yeux
Même si je suis fatigué
Mes pensées me hantent et me tiennent éveillé
Je cherche à mettre en veille
Mes pensées qui s'emmêlent
Me privant de sommeil
Mais je n'peux combattre mes démons
Fort au-delà des mondes
Mais je n'sais pourquoi
Je me sens malheureux
Depuis que j'ai ouvert les yeux sur le monde
Je n'arrive plus à les fermer la nuit
Toutes mes idées se confondent
Lors d'une ode à la douce insomnie
Quand mes remords vagabondent
Au-delà de mon esprit
Trop de questions qui abondent chaque seconde
Mon sommeil m'est insoumis
Fais qu'elles s'en aillent, aillent
Ces idées qui viennent me hanter la nuit
Fais qu'elles s'en aillent, aillent
J'suis vidé comme supporté par l'ennui
Ces souvenirs m'enivrent
J'ai tant de mal à vivre
La peine me submerge parfois
Ces souvenirs m'enivrent
J'ai tant de mal à vivre
Jusqu'à en perdre la foi