Soda l'imprécis!
Soda l'imbécile!
On le reconnaît à la façon qu'il a de plaire
Toujours le premier à traîner des pieds derrière
C'est une illusion, encore vert il connait sa chance
Donne l'impression de laisser une longueur d'avance
Et si c'est chacun pour soi, c'est jamais à lui
Et si toujours ensemble, c'est jamais unis
L'aimer c'est comme aimer la nuit, le dieu qui s'enfuit
(Goya! Soda! Soda l'imprécis)
J'avais cru avoir appris
(Goya! Soda! Soda l'imbécile)
Persuadée d'avoir compris
(Goya! Soda! Soda l'imprécis)
Mais depuis ce type là, qui mange qui?
Il rit au aux éclats du tableau du maître espagnol
Dévorer l'enfant, tuer le temps, souiller le sol
Plus je le regarde se moquer du vieillard en face
Plus mon désir se teinte d'une jalousie vorace
Et si c'est chacun pour soi, c'est jamais à lui
Ici toujours ensemble, c'est jamais unis
L'aimer c'est comme aimer la nuit, le dieu qui s'enfuit
(Goya! Soda! Soda l'imprécis)
J'avais cru avoir appris
(Goya! Soda! Soda l'imbécile)
Persuadée d'avoir compris
(Goya! Soda! Soda l'imprécis)
Mais depuis ce type là, qui mange qui?
(Soda l'imbécile)
Jamais à moi
Jamais à moi, il ne sera
Jamais à moi
Trop jeune, trop rapide
Trop capricieux pour moi
Coups de pinceau, les chairs sont dévorées à vif pour toi
(Soda l'imprécis)
Et mes dix-sept ressemblaient à ce tableau de Goya
Qui regarde qui, à quel prix et qui mange quoi?
Et qui t'avais dit et qui te fait penser à d'autres que moi?
Pourquoi avaler, recracher, pourquoi garder tout contre soi?
Comme j'avais envie je lui ai payée cash le soda
(Goya! Soda! Soda l'imprécis)
J'avais cru avoir appris
(Goya! Soda! Soda l'imbécile)
Persuadée d'avoir compris
(Goya! Soda! Soda l'imprécis)
Le nez dans son coca, gamin du chaos