Lorsque l'on tient entre ses mains, cette richesse
Avoir vingt ans, des lendemains pleins de promesses
Quand l'amour sur nous se penche
Pour nous offrir ses nuits blanches
Lorsque l'on voit loin devant soi rire, la vie
Brodée d'espoir, riche de joies et de folies
Il faut boire jusqu'à l'ivresse
Sa jeunesse!
Car tous les instants
De nos vingt ans
Nous sont comptés
Et jamais plus
Le temps perdu
Ne nous fait face
Il passe!
Souvent en vain on tend les mains, et l'on regrette
Il est trop tard, sur son chemin, rien ne l'arrête!
On ne peut garder sans cesse
Sa jeunesse
Avant que de sourire et nous quittons l'enfance
Avant que de savoir la jeunesse s'enfuit
Cela semble si court que l'on est tout surpris qu'avant que de comprendre
On quitte l'existence
Lorsque l'on tient entre ses mains, cette richesse
Avoir vingt ans, des lendemains pleins de promesses
Quand l'amour sur nous se penche
Pour nous offrir ses nuits blanches
Lorsque l'on voit loin devant soi rire, la vie
Brodée d'espoir, riche de joies et de folies
Il faut boire jusqu'à l'ivresse
Sa jeunesse!
Car tous les instants
De nos vingt ans
Nous sont comptés
Et jamais plus
Le temps perdu
Ne nous fait face
Il passe!
Souvent en vain on tend les mains, et l'on regrette
Il est trop tard, sur son chemin rien ne l'arrête
On ne peut garder sans cesse
Sa jeunesse