Il a embrassé seul le ciel noir Tirant ses dizaines de wagons Misérable mais imperturbable Tirant ses wagons Le cœur noir charbon
Son corps fluet et lisse gît à côté d’elle Sa tête pleure, gît seule et se meurt
Persuadé encore une fois qu’aucun amour ne trouvera de reflet sur ce fond Souriant, blême, imperturbable Il a embrassé le ciel noir Tirant ses dizaines de wagons Seul, le cœur noir et sans fond